Le Vanlifest change de décor : bienvenue à La Margue !
Cette année, le Vanlifest pose ses roues dans un tout nouveau lieu : La Margue, en plein cœur de l’Aveyron. Et croyez-nous, ce n’est pas un simple changement de terrain. C’est une évolution naturelle, alignée avec tout ce que le festival défend depuis le début : la liberté, l’autonomie, la reconnexion… et surtout, le sens.

Cet écolieu, c’est un écrin de nature préservée, un espace vaste, vivant, un peu brut, comme on les aime. La Margue, c’est un lieu de vie alternatif, en transformation, porté par un collectif de passionné·es qui rêvent — tout comme nous — d’un monde plus juste, plus simple, plus joyeux.
Un lieu qui respire les mêmes valeurs
Quand on a commencé à chercher un nouveau lieu pour le Vanlifest, on ne voulait pas juste “un champ”. On cherchait un endroit qui vibre. Qui accueille des projets engagés.
La Margue coche toutes les cases. C’est un lieu en pleine construction, au sens noble du terme : on y expérimente des façons de faire autrement, on y accueille des résidences, des collectifs, des événements hybrides, et des rêves un peu fous.
Et surtout, ce lieu est habité. Pas seulement par des murs, mais par des humains qui mettent les mains dans la terre, qui réparent, qui bâtissent, qui partagent. Le Vanlifest s’y inscrit comme une rencontre, pas comme une “location”. Et cette différence change tout.

Ce que ça change pour vous
Venir au Vanlifest à La Margue, c’est vivre une expérience encore plus immersive, plus libre, plus ancrée dans le réel. Voici ce que ce nouveau cadre implique concrètement :
1. Un espace plus vaste, plus sauvage
La Margue offre une grande diversité de zones : une forêt, une rivière, une prairie, des tiny, un bâtiment en paille en construction, des bâtiments en rénovation… Cela nous permet d’imaginer une organisation plus fluide, plus organique, avec des recoins pour les moments calmes, des espaces collectifs pour vibrer ensemble, et surtout : de la place pour tout le monde.
2. Un ancrage local fort
Être en Aveyron, c’est aussi tisser du lien avec le territoire. On fera la part belle aux artisans et producteurs locaux, aux initiatives rurales inspirantes, aux savoir-faire qui résistent au temps.
3. Une logistique à vivre ensemble
Parce que le lieu est en évolution, il demande un peu d’adaptation. Ce n’est pas un camping trois étoiles, et c’est tant mieux. Il y aura peut-être des douches collectives, des toilettes sèches, des chemins un peu cabossés… Mais c’est justement là qu’on touche à l’essence du festival : on fait avec, on fait ensemble, et on revient à l’essentiel.
Le Vanlifest reste fidèle à son ADN
Ce changement de lieu ne veut pas dire qu’on change d’identité. À La Margue, le Vanlifest s’associe à LAOM pour s’exprimer encore plus :
- Un festival participatif, où chacun·e est invité·e à proposer un atelier, partager une expérience, créer du lien.
- Un événement à taille humaine, sans stands géants, sans files interminables, sans public passif.
- Un espace d’exploration, pour se poser les bonnes questions : comment je veux vivre ? De quoi ai-je vraiment besoin ? Qu’est-ce qui me met en joie ?
Et surtout : un grand terrain de jeu collectif, où les rencontres se font naturellement, entre un café partagé, une conférence inspirante et un concert sous les étoiles.
Ce nouveau lieu, c’est aussi un symbole
Le fait que La Margue soit en cours de création est loin d’être un hasard. Il y a un parallèle évident avec la démarche de nombreux festivaliers : vous êtes en transition, en construction, en réinvention.
Vous aménagez un van, vous changez de vie, vous testez une autre manière d’habiter le monde.
Et La Margue, c’est tout ça aussi. C’est un lieu qui cherche, qui apprend, qui avance sans prétendre avoir toutes les réponses.
Venir ici, c’est s’autoriser à ne pas être “fini”. C’est poser ses valises, même mentalement, dans un endroit qui ne vous demande pas d’être parfait·e ou d’avoir tout compris. C’est un lieu pour expérimenter, se planter, recommencer, et surtout : grandir ensemble.
Concrètement, à quoi s’attendre ?
- Des bivouacs libres, dans la nature, à choisir selon vos envies (ombre, tranquillité, proximité des activités…).
- Des espaces de vie collectifs : cuisine partagée, zone feu, coin sieste, buvette locale…
- Des ateliers partout : dans les bois, sous des tentes, autour des vans, dans une salle en bois fabriquée par le collectif…
- Une scène ouverte pour les musiciens, les conteurs, les poètes et toutes les âmes créatives.
- Des moments spontanés qu’aucun programme ne pourra prévoir : parce que c’est souvent là que la magie opère.
Et si on écrivait ensemble la suite ?
Ce changement de lieu est une opportunité. Celle de réinventer, de réajuster, de faire encore mieux. Et pour ça, on a besoin de vous. Pas juste comme spectateur·ice, mais comme co-créateur·ice.
Si vous avez des idées, des compétences, des envies de vous impliquer… les portes sont grandes ouvertes.
Le Vanlifest, ce n’est pas “notre” festival. C’est le vôtre aussi. Et à La Margue, cela prend tout son sens.
Alors, prêts à embarquer pour une nouvelle édition, encore plus libre, encore plus collective, encore plus vraie ?
On vous attend là-bas, avec vos rêves et vos projets !
À très vite à La Margue 🌿
